jeudi, 20 juin 2013 09:40

Les sciences

Comme dernier projet de recherche, nous avions plusieurs sujets originaux comme la dissection de poisson. Un groupe de filles a choisi la fabrication de bonbons mousses. On a aussi découvert les plantes carnivores, les aimants et les grillons. Modifier un hélicoptère, travailler les circuits électriques pour ensuite le faire fonctionner ont été les défis d’une autre équipe. La chimie était le dernier sujet. Ce projet de sciences a été intéressant et amusant pour chaque équipe.

Emmanuel

Notre projet sur l'architecture

Pour commencer, qu’est-ce que l’architecture? C’est l’art d’imaginer et de bâtir des édifices : maisons, monuments, usines, etc. Pour débuter notre projet, nous avons appliqué nos stratégies de lecture sur un texte qui parlait des premières constructions de notre ville lorsque Samuel De-Champlain est débarqué à Québec.

Après, nous avons eu la visite de la mère de Félix qui est architecte pour nous aider à en savoir plus sur son métier. Elle nous a aussi montré comment faire des plans à l’échelle. Nous nous sommes mis en équipe pour faire nos propres plans et pour nous entendre sur la maquette qu’on voulait construire en lien avec un type d’habitation (néoclassique, futuriste, moderne, écologique...)

Ensuite, nous avons commencé nos maquettes. Cela a été l’étape la plus longue parce qu’il fallait que ce soit beau pour notre exposition! De plus, nous avons fait des tests en sciences pour appuyer nos maquettes. Ces tests nous en ont beaucoup appris sur la structure des constructions et tout ce qu’il faut faire pour que ce soit solide.

Finalement, nous avons présenté nos maisons miniatures à l’aide d’un langage mathématique et les autres classes sont venues apprécier notre travail. Les parents sont aussi venus voir notre présentation. Ils nous ont fait des remarques constructives sur nos maquettes et nos affiches!

En conclusion, nous avons aimé ce projet pour tout ce qu’il nous a apporté. Notre plus grande fierté serait d’avoir présenté notre projet devant les grands du 3e cycle.

Gabriel

 

Nos défis en science : la construction de tours, de cabanes, de ponts

Nos défis en sciences

 

Nos maquettes

jeudi, 21 mars 2013 20:10

Histoires de nains de jardin

Des nains de la cave au grenier

Dans une maison ancestrale à la campagne, vivait, au grenier, une multitude de minuscules personnages appelés nains de grenier.

Il y a quelque temps, vers 1914, ceux-ci vivaient dans un jardin. Le calme de leur potager où la végétation était abondante fut troublé par la guerre et ils décidèrent de se réfugier dans le paisible grenier d’une grande maison où, avant qu’elle ne meure, une vieille dame habitait.

De génération en génération, ils perpétuèrent les traditions familiales. En général, ils étaient vêtus de bonnets rouges et de tuniques fabriquées avec une étoffe résistante qui leur permettait de bouger librement toute la journée. Pour chausser leurs petits pieds, ils enfilaient tous des bottines.

Au grenier, on ne retrouvait pas les travaux qu’il y avait à faire dans un jardin, mais les nains se trouvaient tout de même quelque chose à faire. Leurs maisons étaient faites de bois d’épinette et l’odeur égayait la pièce. Les nains de grenier étaient un peu bourrus, mais ils avaient un grand souci du détail.

Propre et ordonné, le grenier était fait entièrement de bois. Sur les murs, de grandes fenêtres laissaient entrer la lumière du soleil. Ce refuge chaleureux était entretenu par les naines.

Les naines portaient, elles aussi, un bonnet rouge, mais plus court que les nains. Douces et bonnes, elles avaient de petites robes de dentelle de différentes couleurs pâles. Notamment, du jaune, du bleu, du mauve, du vert et du rose. C’était aussi elles qui s’occupaient de la nourriture.

Un beau jour, alors que les nains vaquaient à leurs occupations, une bande de nouveaux nains arrivèrent pour s’installer. C’est alors qu’un grand conflit éclata. Les deux groupes rivaux discutèrent pendant plusieurs nuits. En fin de compte, ils signèrent un traité. Celui-ci permettait aux nouveaux arrivants de s’installer à la cave. Or, les nains du grenier n’avaient pas la permission d’entrer sur leur territoire.

Tous respectèrent le traité pendant quelques années. Puis, un jour, un petit nain s’aventura à la cave. Il était jeune et ignorait l’existence de ces personnages à la cave. Dès qu’il en rencontra un, il remonta au grenier raconter son histoire à ses parents qui étaient déjà au courant. Ils lui expliquèrent calmement et les nains de grenier décidèrent de faire comme si rien ne s’était passé.

Malheureusement, un nain à la cave avait aperçu le petit nain. Il monta au grenier à son tour pour narguer ses rivaux. Boubou, le nain courageux, avait rompu le traité en allant en bas et, maintenant, les nains de la cave avaient accès au grenier.

Finalement, les deux groupes de nains s’ouvrirent sur les autres et décidèrent de vivre ensemble au grenier. Ils formèrent une grande communauté unie.

Juliette 


 

Le nain malchanceux Pipo

« Bonjour et bienvenue à Qui est-ce qu’on connaît? Aujourd’hui, nous accueillons Pipo, le nain malchanceux. »

L’animateur dit : « Alors Pipo, peux-tu nous décrire ta vie? »

Pipo répond : « Bien sûr!!! »

« Je suis né le 8 octobre 1944 à Triaucout, en France. Mes parents sont morts de vieillesse. Mon papa s’appelait Pip, et ma maman Ipo. Je me souviens encore de notre adresse et de notre rue. On habitait au 84, rue des Vocations. J’avais une amie. Elle s’appelait Mimo et elle jouait avec moi tous les soirs.

Rendu à l’âge de 12 ans, mes parents m’ont annoncé qu’on partait à Hollywood. Je criais de joie! Mais, malheureusement, à l’heure du départ, ils m’ont dit que finalement on allait en voyage à Boston. J’ai décidé de ne pas y aller.

Un an plus tard, c’était l’heure de ma première journée au secondaire. J’étais fier d’être rendu là. En arrivant là-bas, une personne qui travaillait à l’école m’a fait visiter. Mais, quand il fallut que j’aille à mon cours d’anglais, je me suis perdu. Alors, je suis arrivé en retard dans ma classe. Après l’école, je suis resté faire ma retenue à cause de ce retard.

À 17 ans, j’ai eu ma première vraie blonde. Elle s’appelait Delphine! Elle était jolie comme un cœur avec ses cheveux blonds frisés. Ma fiancée avait toujours une marguerite dans ses longs cheveux.

Rendue à l’âge de 34 ans, Delphine m’a laissé… j’ai pleuré sans arrêt pendant 6 jours. Je lui ai écrit une lettre pour savoir pourquoi elle m’avait laissé tomber et elle avait écrit que c’était à cause que je commençais à devenir grassouillet.

Mais je me suis trouvé une autre blonde 2 semaines après, car je ne voulais pas habiter seul. Elle était encore mieux que Delphine. Ma douce s’appelait Marie. Nous avons eu des enfants un an après nous être connus. Christian et Marie-Claude sont des jumeaux. Ils sont nés le 8 octobre 1979. Ils ont évolué bien vite.

Maintenant, nous sommes en 2019 et ils ont 40 ans. Ce n’est plus l’âge de faire des enfants… donc, je n’ai pas de petits enfants. Des fois, ça me déprime, mais ce n’est pas grave.

Aujourd’hui, tout ce que je veux, c’est de profiter de ma vie avec mes enfants et Marie avant de mourir! Voilà!!! »

L’animateur dit : « Alors vous avez 75 ans et vous êtes en pleine forme!? C’est rare ça. »

Pipo : « Oui, c’est très rare. »

L’animateur : « Merci, Pipo, d’avoir accepté notre invitation! Et nous, on se revoit vendredi prochain à Qui est-ce qu’on connaît? Bonne fin de soirée. Bye!!!

Fin

Roxane 


 

Les nains de jardin du monde

Au mois de juin, deux enfants jouaient dans leur jardin. Le plus vieux, Tom, était âgé de 12 ans et Mia, la plus jeune, de 8 ans. Ils se balançaient dans le jardin quand tout à coup, le bruit d’une branche se fit entendre.

« Mais qu’est-ce que c’est? dit-il. Va voir!

– Va voir toi!  répliqua-t-elle du tac au tac. »

Il suivit ce qu’elle avait dit. En direction du craquement, il vit un nain de jardin bouger. Ce petit objet était vivant, se dit-il.

« Viens voir! s’écrit le jeune.

– J’arrive! »

Après que les deux jeunes enfants eurent remarqué cette splendide découverte, Mia, qui était sous le stress, cria à son grand frère : « Va vite chercher Papa et maman!!! » Celui-ci réagit aussitôt.

De retour, Tom dit : « Regardez, regardez!!! Ce nain de jardin bouge! » Sur le coup, le petit bonhomme avait arrêté de bouger.

« Ahhh… Les enfants…, s’exclama la femme.

– On vous laisse avec votre imagination, renchérit le jeune mari. »

Immédiatement après que le jeune couple se soit retourné, le nain avait recommencé à gigoter.

« Rrrr… Je ne pourrais jamais bouger plus d’une minute avec ces parents! s’exclama celui-ci.

– Il paaaarle! cria le jeune garçon. »

En entendant ce cri, le nain se retourna en sursautant.

« Ohhh… Ce n’est que vous… dit ce petit objet sans étonnement. Ça fait des années que je vous observe. »

– Mais qui êtes-vous? s’exclamèrent les deux jeunes. »

Le nain de jardin québécois connaît la règle de tous : Il ne faut jamais bouger à la vue des adultes. Cela se fait automatiquement, car quand les yeux d’un adulte sont rivés sur nous, nous arrêtons de bouger. Nous recevons ce sortilège à la naissance.

Les deux enfants étaient sous le choc.

« Mais, est-ce que nous pourrions faire quelque chose pour que nos parents vous voient bouger?

– Vous avez beau essayer, ça m’étonnerait que vos plans fonctionnent. »

Tom eut une idée et l’a dite à sa petite sœur.

« Peut-être que si nous les aidons pendant plusieurs semaines, ils gagneront notre confiance et pourront nous récompenser en faisant de petits gestes devant nos parents.

– Oui! se réjouit-elle.

– Oui quoi? dit le nain.

– Eeeee… Nous disions que nous pourrions vous aider…

– Mais bien sûr! accepta vivement le nain. Cela peut commencer dès maintenant! »

Les enfants travaillèrent pendant plusieurs semaines, même plusieurs mois ! Tellement longtemps, que Mia était rendue à l’âge de 9 ans et Tom 13 ans.

Lors d’une belle journée du mois d’août, Tom se souvenait encore de ce qu’il devait demander à un des petits personnages. Alors, les deux jeunes enfants allèrent gentiment poser la question au nain de jardin australien :

« Après tous ces mois de travail, nous voudrions demander un petit service à vous tous.

– D’accord, il n’y a pas de problème, dites-le.

– Nous voudrions savoir si vous pourriez faire un petit geste devant nos parents pour qu’ils sachent que vous existez. Accepteriez-vous cette demande? demandent-ils.

– Il n’en est pas question! À moins que vous vous entendiez avec le grand chef et tous les nains du monde! répond-il. »

Tom, qui était prêt à tout, accepta de continuer cette aventure. Le nain lança alors :

« Bonne chance! »

Les deux enfants allèrent voir le grand chef dans la mine. Ils reçurent de la part de celui-ci un grand « peut-être » en réponse à leur question. Le chef devait d’abord demander la permission aux nains du monde.

Le grand chef, avec un étrange objet, appela tous les nains du monde. Les nains qui vivaient en France, en Australie, en Italie, en Chine, en Mongolie, en Russie, en Iran et des milliers d’autres pays. Tous les nains étaient rassemblés dans la mine. Le grand chef débuta la discussion :

« Un moment d’attention s’il vous plaît! Hum. Aujourd’hui, j’ai une question importante à vous poser. La voici : « Seriez-vous prêts à montrer des gestes aux adultes? »

Toute la mine se remplit de vacarme. Bref, c’était le chao total.

« Silence! Ce n’était qu’une question! » riposta le grand chef.

Le nain français cria :

« Décidez-vous, car sinon je me barre! »

Tout le monde se tut. Le grand chef enchaîna :

« Nous allons maintenant procéder à un vote à main levée. Ceux qui votent pour que nous bougions devant les adultes, levez la main! »

Le trois quarts des nains avaient levé la main pour cette option. C’était donc décidé : ils pouvaient maintenant bouger devant le monde entier!

Un nain parmi la foule dit :

« Et si un jour un malheur survient et cela se passe à cause d’un adulte? »

Le grand chef réfléchit et lança son idée :

« Nous allons jeter un sort pour que les adultes ne partagent pas ce qu’ils voient par rapport à nous. »

Tous les nains étaient heureux et criaient à cœur joie.

Maintenant, tous les gens du monde avaient vécu cette expérience. Tom et Mia ont observé leurs parents pendant qu’ils voyaient les nains bouger. Les enfants savaient que, au fond, leurs parents croyaient maintenant ce qu’ils avaient raconté auparavant.

Finalement, tout est bien qui finit bien, car tout le monde a choisi ensemble.

Noémie 


 Le rendez-vous d’Edgar

Dans la forêt enchantée, le séduisant nain Edgar Arwin aguiche des petites gnomes. Mais, tout d’un coup, Edgar commence à avoir les genoux en guenille, les yeux qui tournent, le cœur qui bat! C’est la belle Huguette Darmin qui est dans le jacuzzi!

Il va tenter de la séduire et lui donne un rendez-vous à 8 h. Tout fonctionne bien à présent. En retournant se préparer, il tombe et salit son short, son seul short propre! Sa première tentative sera de voler une laveuse. Il entre dans le magasin, prend une laveuse et tente de la soulever. Mais, elle est trop lourde! Son prochain essai sera de mettre des couches, mais il sait tout de suite que ce « kit » n’est pas très sexy . Edgar est découragé, mais il essaie quand même de laver son short lui-même et… ça fonctionne! Il est si heureux!

Maintenant, il est 7 h 30, il faut qu’il aille à son rendez-vous au restaurant L’amour est dans la bouffe. Depuis ce jour, Edgar lave ses pantalons lui-même et il vit heureux jusqu’à la fin de… sa vie!

P.-S. En mémoire d’Edgar Arwin 1993-2012

Gabriel D. 


histoires 

Bonjour,

Je suis Katy, j’ai 21 ans et je suis un nain de jardin. Je vis à Hawaï, au beau milieu des palmiers. J’aime ma vie… Mais j’ai un rêve : faire le tour du monde à la nage. Plusieurs me diront que c’est impossible, mais je sais que je suis capable.

Alors, un beau matin, je suis partie. J’ai enfilé mon habit de surf, laissé un mot à mes parents et mon rêve a commencé. Première destination : le Mexique! Après quelques heures de nage, j’ai ouvert mon sac et sorti mon radeau gonflable pour y dormir. J’ai mangé une barre de chocolat pour ensuite me coucher.

Le lendemain matin, j’ai rencontré mon premier gros problème : des requins. Pourquoi je n’y a avais pensé plus tôt? Ils sont partis, sauf que l’un deux a percé mon bateau. NON! Mais bon, je commençais à voir le Mexique. J’ai trouvé du bois, puis j’ai flotté quelques instants et, par après, j’ai coulé. J’ai vu un dauphin… Mais non, c’était un requin… PANIQUE ! Et je me suis réveillée. Eh oui, j’avais rêvé.

Finalement, j’ai fait mon voyage en avion. J’ai décidé de vivre en Finlande, en Europe. Elle a deux petits nains : une fille de deux ans, Cathérie et un garçon d’un an.

Quatre ans plus tard, j’ai déménagé en Argentine avec mes deux petits nains. Mais je me rendis vite compte que c’était trop chaud pour moi. Je partis vivre pour de bon en Pologne. Je devins une chef de petites boules de gâteau à la fraise avec sauce polonaise.

J’ai fait 17 fois le tour du monde !

Catherine

 

 

jeudi, 22 novembre 2012 22:57

Notre journée à l’Île d’Orléans

Classe

Le 28 septembre, par une belle journée ensoleillée, nous sommes partis à l’Île d’Orléans parce que nous voulions plus nous connaître. Félix, un des élèves, habite là-bas. Et c’est lui qui nous a proposé de vivre cette journée. Entre autres, nous avons pu cueillir des pommes et découvrir les maisons ancestrales pour notre projet d’architecture. Ce fut une magnifique journée!

Voici l’horaire de notre journée :

- 9:15 Le départ vers l’île

- 9:45 Visite d’une exposition à La Maison de nos aïeux

-10:30 Visite de la Fromagerie de l’île

-12:00 Dîner sur le bord du fleuve (une aventure!) et temps libre.

-13:30 Visite de la maison de Félix à Ste-Famille.

-14:00 Cueillette de pommes dans un verger privé

-15:00 Retour vers l’école


par Élodie et Samuel 

 

L’île d’orléans

Saviez-vous que les deux anciens noms de l’île étaient Bacchus et Minigo? 

L’île s’est appelée Minigo car les habitants croyaient que l’île était encerclée par des sorcières et était ensorcelée.  Bacchus était le dieu des raisins et du vin.  Ils ont donné ce nom parce que ce fruit poussait en grand nombre sur l’île.

Saviez-vous que 90 % des terres sont encore réservées à l’agriculture?

Il y a une croix sur l’île parce qu’une fois, il y a deux curés qui se sont chicanés pour un objet important.  Lorsqu’ils trouvèrent une entente, ils ont planté la croix. paix

Nous avons eu la chance de savoir si nous avions des ancêtres sur l’île. Quelques-uns de nous en ont trouvé !!! :)

carte

 

Saviez-vous que sur l’île, il y a une route principale qui longe le fleuve. Elle communique avec les autres rues.

La Maison de nos Aïeux

 

Pour en savoir plus, visitez La Maison de nos Aïeux.

Nous avons adoré l’exposition !!!!

 

 

 par Catherine et Noémie 

 

La fromagerie

fromagerieTout d’abord, nous allons vous parler du fromage le Paillasson.

En premier, le fromage est composé de lait caillé. Le lait caillé est fabriqué en ajoutant au lait, du ferment provenant du quatrième estomac d'un veau.

En deuxième, nous versons le lait dans le moule à fromage. Avant, nous disions que le métier de fromager était un métier de femme à cause qu’il nous fallait des mains plus délicates pour sortir le fromage du moule.

En dernier, nous prenons le fromage et le laissons 3 jours sur le tapis de roseaux pour le faire sécher au-dessus des poêles à bois de nos ancêtres.

Voici un brin d’histoire : le fromage de l’île d’Orléans date des débuts de la colonie, vers 1635. Entre 1940 et 1970, une quarantaine de familles fabriquaient du fromage sur l’île. Le plus célèbre est celui de M. Gérard Aubin qui a continué cette tradition.

par Kamille et Ann-Frédéric 

 

Une ancienne maison


Au cours de la journée,  à l’Île d’Orléans,  nous sommes allés dans une maison de style néoclassique* qui a été construite vers 1800, il s’agit de la maison de Félix, un élève. La maison a des poutres en troncs de bois avec 4 étages : le sous-sol, le rez-de-chaussée, le premier étage et le bureau du père. L’une des premières familles à avoir habité dans la maison a été une famille de Morency.

par Ismaël et Félix 

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 * Maison traditionnelle française ou québécoise.

 

Un dîner mémorable!

Il était une fois… euh non!

Par une journée paisible à l’île d’Orléans, nous avons dîné à un endroit magnifique, on pouvait contempler les poissons morts! Quelques-uns d’entre nous sont allés sur les roches les plus proches du fleuve mais nous ne nous sommes pas méfiés de la marée haute donc les filles ont commencé à paniquer. Un de nous prenait ça à la légère en marchant directement dans la boue!

Donc un dîner mémorable à un endroit vraiment paradisiaque et … bouetteux!

par Gabriel R. et Gabriel D.


Le pain bannick

Pain bannick

Lors de notre journée à l’Île d’Orléans, nous avons eu la chance de goûter à un pain originaire des autochtones : le pain Bannick. C’est un aliment de base des premières nations du Canada et différentes versions de la recette font partie des repas traditionnels dans toutes les régions du pays.  Autrefois, on le cuisait sur un feu de camp mais maintenant, on peut le cuire dans un poêlon. C’est un pain crêpe qui ne lève pas. La recette est simple et vraiment délicieuse. Tout le monde a adoré et voulait la recette!

La voici :

Pain bannickRecette de Bannick inuit

Mélanger tous ces ingrédients :    
1 tasse de farine
10 ml de poudre a pâte
1à 2 ml de sel
5 ml de sucre ou 50 ml de raisins secs

Ensuite, ajouter :  
5 ml  d’huile  (facultatif)
30 ml d’eau fraîche (environ),

… jusqu’à ce que la pâte  ressemble à de la pâte à pain (ou de la pâte à modeler molle).

Avec la pâte, faire une boule aplatie (grand comme le fond du chaudron)

Dans un petit chaudron bas ou un poêlon d’environ 15 à 16 centimètres de diamètre, mettre juste assez d’huile pour en couvrir le fond.

Dans l’huile préchauffée, faire cuire le pain à feu moyen, en le retournant à la moitié de la cuisson  (lorsque le dessous est doré et le pain cuit jusqu’à la moitié de son épaisseur) : 5 minutes environ. Déposer sur un essuie-tout sec, pour en absorber le surplus d’huile.

Se mange chaud ou froid, avec ce qu’on veut : seul, beurre, beurre d’arachides, confitures, …

Bon appétit !

par Juliette et  Marie-Getchina 


Le verger

Nous et la classe de Marie-France avons eu la chance de cueillir des pommes dans un verger privé situé à Ste-Famille, en face de chez Félix. Ce verger était  très gros. Selon nous, il compte plusieurs hectares de terre. Voici les sortes de pommes que nous avons cueillies : Cortland, McIntosh, Lobo et Spartan. Nos sacs étaient bien pleins! Nous avons eu beaucoup de plaisir.

À l’Île d’Orléans, il y a beaucoup de vergers sur toute la superficie de l’île. La cueillette de pommes est une activité très importante en automne.

par Emmanuel et Étienne 

 

Fleuve Saint-Laurent

 

Avant, la  navigation sur le fleuve Saint-Laurent était l’une des plus périlleuses au monde. Il y avait de nombreux naufrages. Par exemple, entre 1856 et 1866, il y a eu 700 naufrages!

Un des naufrages les plus célèbres du St-Laurent est celui de l’Empress of Ireland en 1914. En 14 minutes,  il a entrainé plus de 1000 personnes dans la mort.

 

par Guillaume et Vincent 

 

L'importance de garder une eau propre

Eau propre           Eau poluée

Eau propre!!!                                    Eau polluée!!!!

Dans les derniers siècles, la population a endommagé le fleuve St-Laurent. Mais, il s’est grandement amélioré depuis quelques années. Toutefois, il reste du chemin à faire pour avoir un fleuve sans pollution et propre.

Aux cours de notre dîner sur le bord du fleuve, on a remarqué des déchets et du plastique dans l’eau. Quand on laisse nos déchets et qu’ils sont poussés par le vent, ils se retrouvent dans le fleuve ou dans les océans!!

On pense que 80 % des déchets qui se trouvent dans le fleuve sont des déchets qui viennent de la population. Vraiment beaucoup de déchets se ramassent sur les côtes et malheureusement, les poissons pensent que c’est de la nourriture pour eux!

Faisons attention et ramassons nos déchets!

  

par Laurie et Anne